ET SI ON SE FAISAIT UNE HISTOIRE NOUS LES DRAK ^^

Tout commenca à Forgefer, une immense cité peuplée de nains.

Seiji venait de prendre le tram à Hurlevent ne sachant pas trop où tt ça allait le mener, quelle ne fut pas sa surprise quand il vit autant de petits êtres ( les nains ^^), lorsqu'un démoniste nommé Kadura l'interpela et lui dit "..."

( vous avez compris le principe ?, à toi kad ^^)

( et surtout faites intervenir qui bon vous semble et à savoir où ça va nous mener... )

Il était tôt encore lorsque je traversais le portail du tram infernal gobelin afin de me rendre pour la premiére fois dans les forges des nains à Dun Morogh pour y délivrer un message à un quelconque vendeur d'armes.
C'est alors les seules quêtes qu'on me donnait afin de m'occuper; j'étais un médiocre aspirant de l'ombre et je venais d'acquérir mon premier serviteur *****; vous parlez d'un cadeau: un minus petit démon du nom de ***** passant son temps à contester invariablement avec des phrases telles que "ce n'était pas dans mon contrat!" ou encore de "vas y envoie le plus petit!"!
Bref une vie sans intérêt avec pour meilleur ami Topper McNaab, un mendiant de Stormwind qui, comble de tout, me raflait mes maigres soldes de quêtes pour manger des sandwichs trop gras de Comté du Nord à deux km de la capitale! Mais bon il était alors mon seul ami!
Je ne savais pas alors que la traversée de ce portail ferait basculer ma misérable existence et pourtant les débuts dans cette capitale des nains étaient désastreux.
La lumiére aveuglante de magie venait de laisser à la porte les champs fleuris et doux du royaume de mon enfance pour me plonger dans la moiteur de la lave des forges des nains; une étouffante chaleur et une odeur de souffre digne des pets de Topper; je me tournais alors vers un pauvre bougre d'un âge certain pour lui demander ma route mais il n'était alors pas plus savant que moi; lui aussi on l'avait envoyé dans cette province pour une médiocre mission; parlant il me dit que son nom était Seijinkai et qu'il est guerrier.
Je lui proposais donc d'aller avec lui; aprés tout nous avions la même quête, une note chiffonnée à délivrer!
"Passons par la taverne" ,me dit-il d'un air faussement joyeux, un des misérables nains buveurs de biéres saura nous indiquer notre route.
J'examinais en chemin les voûtes célestes de la capitale et me demandais comment des êtres si petits pouvaient faire un si haut édifice.
Ces nains si joyeux d'ivresse et pourtant si peu aimables.
Nous trouvions finalement une taverne et notre surprise fut grande de n'y voir que des humains et des elfes ivres dansant et chantant leurs exploits. Je fus encore plus surpris d'y reconnaitre ............ma propre soeur.
"Meline cesse de boire de suite et rentre chez nous!" dus-je crier et pourtant elle ne m'entendait pas; elle était ivre et joyeuse de ce brouhaha des victorieux, de ces courageux rentrant de campagne emplis de trésors et de récits.
Seijinkai m'avait abandonné aussi pris dans l'ambiance, il en avait enlevé ces misérables loques ainsi que son épée d'entraînement pour danser en slip sur une table.
Ne trouvant pas de réponse je sortais de la taverne, un peu jaloux et encore plus anonyme et seul dans la demi-pénombre de Forgefer; admirant les pavés et trainant ma triste vie je bousculais un elfe ce qui me projetta sur la partie le plus charnue de mon individu quand une main se proposait de me relever, cet elfe était toujours devant moi et il brillait de milles gloires; je venais d'entendre de nombreux récits sur lui à l'auberge Ullrich le Dur; plus communément nommé Uldur le vaillant.
Son geste m'emplit de fierté, lui le héros, se proposait de me relever.
Une fois debout il m'inspecta et me dit: "il ne fait pas bon se promener ainsi!".
"Où donc est donc équipement d'aspirant?", je lui dis alors que je n'avais que ça.

ma première idée etait de le laisser continuer sa route, faut dire qu'on croise souvent des petits humains se promenant en slip et en marcel dans les capitales du royaume d'azerot , mais cet humain était différents et chose rare il ne me demanda rien pas la moindre petite piècette afin de s'offrir quelque objet inutile chez les commercants locaux.
c'est pourquoi, après avoir fait le fond de mes poches pour une fois pleine , je décidais de l'emmener dans cet endroit digne de la cour des miracle ou l'on pouvait trouver,toujour ou presque, chaussure a son pied c'est à dire l'hôtel des ventes. Tout en faisant connaissance , je m'employais a lui trouver le meilleur equipement afin qu'il puisse évoluer dans cet monde de brut ou le danger est omniprésent. Après qu'il m'ai remerccié mille et une fois, et que je lui fit part de quelques astuces, nous partîmes chacun de notre côté . Je retournais donc a mon occupation favorite qu'étais le massacre de créatures ignobles et répugniantes telles que les morts vivants tout droit sortis de la Fossoyeuse ou d'orc venu de la grande cité d'ogrimar mais qui lorsqu'ils avaient le malheur de me croiser regrettés le jour béni ou leurs mères leur donnaient encor le seins.
Toutefois j'eu l'agréable surprise de recroisé sur ma route, près de la marche de l'ouest au sud d'hurlevent la grande capitale du peuple humain, kadura l'humain que j'avai aidé quelque lune plutôt en compagnie de sa femme kalirikou. Après les discutions basique sur la pluie le beau temps et les quêtes j'inspectais donc sa femme et bien entendu je ne fut nullement surpris en voyant l'état de son equipement et comme je l'avai fait auparavant avec son mari je retourner donc à l'hôtel des ventes afin d'équiper le couple qui sera par la suite des amis fidèles d'une sagesse et puissance reconnu . Nous avons formé une equipe de choc face a de terribles monstres et créatures démoniaques que l'on pouvais croiser souvent dans les contrées du monde d'azerot, d'ailleurs je pourrai vous en raconté des bonnes mais je laisse a kalirikou le soin de poursuivre cette histoire je sens qu'elle en meurt d'impatience .

Il est vrai que depuis cette rencontre avec Ulrich le Dur, célèbre chasseur connu pour ses multiples exploits contre la Horde, ma vie de paladin ne fut plus tout à fait la même. Je me pris à apprécier de plus en plus le vert et fut de plus en plus tentée par le bleu et son dérivé, le violet. Ces couleurs influançant plus ou moins directement mes pouvoirs, je me mis donc en quête, avec l'aide de quelques compagnons tels que Uldur, Seijinkai et Kadura, de chercher ces objets quelque peu magiques. Mais pour cela, comme le racontait Uldur précédemment, il fallait s'attaquer à des monstres divers et variés qui peuplaient les contrées d'Azeroth et de Kalimdor. Nos exploits face à eux sont tellement nombreux que je ne sais pas par où commencer ! Heureusement, j'ai toujours sur moi un petit carnet dans lequel j'écris, je gribouille, trace des plans (car je me perds souvent)... Je vais donc vous retranscrire ici une de nos histoires, ou plutôt le jour d'une rencontre importante...attendez je cherche...ah, voilà! celle-là me semble bien...

" Tanaris en Kalimdor, 23 mars de l'an ***

(...) Nous sommes arrivés par les airs à Gadgetzan. Ecrasés dès notre arrivée par un soleil de plomb et une chaleur insupportable, nous avons cherché l'auberge pour nous désaltérer et nous reposer quelques instants. Une habituée des auberges et autres tavernes, que nous avions déjà croisée plusieurs fois, était là elle aussi : son nom, me semble-t-il est Meline. Nous avions prévu de libérer une zone au nord ouest, infestée du peuple Furie des Sables et de scarabées et de récupérer par la même occasion un médaillon précieux, le médaillon de Nekrum. Uldur, Kadura et moi étions en train de préparer notre action, examinant les plans de la région extrêmement détaillés réalisés par des gnomes lorsque 2 individus entrèrent. Ils se dirigèrent vers l'aubergiste et laissant traîner une oreille, j'entendis que eux aussi chercher le médaillon. J'en parlais immédiatement à mes compagnons, car une aide supplémentaire ne serait pas superflue ! Uldur les interpella et leur demanda de nous rejoindre. Les deux défenseurs de l'Alliance vinrent alors vers nous et je pus enfin les distinguer un peu mieux... Il y avait une femme, paladin comme moi, du nom d'Arwinne ainsi qu'un elfe, qui avait appris les secrets des druides, du nom de Chrix. Ce dernier s'assit à notre table, prit sa chope, la porta à ses lèvres, la reposa et nous dit : "...." alors que dans le même temps, Meline s'écria : "..." (...)"